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Les Clearfield organisent, le 4 juin, la 10e “Golden Garden Party” au profit de TPRF

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La Golden Garden Party, une journée destinée à collecter des fonds pour la Fondation Prem Rawat (TPRF), est accueillie pour la dixième année par Ron et Rachel Clearfield dans leur magnifique propriété près d’Asheville (Caroline du Nord), le 4 juin.

Avec au programme plusieurs performances musicales et une cérémonie népalaise célébrée dans le jardin en fleurs des Clearfield, cette manifestation a permis de récolter plus de 50 000 dollars en 10 ans au profit du programme Food for People de TPRF, qui distribue tous les jours à des milliers d’enfants pauvres des repas nutritifs au Ghana, en Inde et au Népal. Cette année, le couple espère recueillir 10 000 dollars supplémentaires.

« Au nom de tous les enfants qui bénéficient de cette aide depuis plus de dix ans et de l’équipe de TPRF, nous exprimons notre gratitude à Ron et Rachel, aux sponsors, aux donateurs et aux bénévoles sans qui cet événement ne serait pas possible, déclare Marci Klein, responsable du développement de TPRF. J’ai hâte d’y participer ! »

Les médias locaux soutiennent l’initiative et lui offrent une large couverture médiatique pour mobiliser le plus de monde possible.

« Il y a dix ans, nous nous demandions quoi faire de notre vie », explique Ron Clearfield dans un article paru récemment dans l’Asheville Citizen-Times. Ils venaient d’avoir 60 ans, leurs trois enfants étaient élevés et partis de chez eux.

 

« Nous avions ce magnifique terrain, et souhaitions partager avec d’autres ce que nous avions reçu. J’ai toujours aimé cette citation de Lee Iacocca, ajoute-t-il : “il y a trois phases dans la vie : apprendre, entreprendre et rendre”. »

 

Rachel explique qu’ouvrir son jardin pour une cause aussi importante est « un immense cadeau ».

 

« Depuis que je suis grand-mère, je suis complètement amoureuse des enfants, surtout des plus jeunes qui ont le même âge que mes petits-enfants, confie-t-elle. Quand je pense à eux, je pense à tous les enfants, ceux qui souffrent en Syrie et dans beaucoup d’autres endroits. Je voudrais que notre contribution s’accroisse d’année en année. Ça me tient vraiment à cœur. »

Ceux qui ne peuvent être présents le 4 juin peuvent participer en achetant des billets de tombola. Les gagnants recevront de petits cadeaux pour un total de plus de 2 000 dollars. La somme recueillie lors de la tombola sera doublée par des donateurs anonymes et le total sera remis à TPRF.

Voir le site de la Golden Garden Party ou consulter l’affiche ci-dessous pour plus de renseignements.


La campagne “Soif de Paix” a recueilli 162 824 $

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Les donateurs se sont montrés particulièrement généreux lors de la campagne “Soif de Paix”, lancée par la Fondation Prem Rawat. 162 824 dollars ont ainsi été recueillis pour soutenir le Programme d’éducation pour la paix (PEP) et le programme alimentaire Food for People (FFP).

« Un grand merci à tous ceux qui ont contribué au succès de cette campagne, déclare Daya Rawat, présidente de TPRF. Concrètement, grâce à vous, chacun des enfants qui reçoit ces repas FFP peut espérer une vie meilleure, et chaque participant d’un atelier du PEP a la possibilité de découvrir ses ressources intérieures. »

La campagne a eu lieu tout au long du mois de mai, accompagnée de quatre nouvelles vidéos illustrant l’impact de vos dons sur la vie des gens à travers le monde. Près d’un millier de personnes ont pris part à cet effort, y compris celles qui s’étaient engagées à doubler la somme de 52 000 dollars en dons de contrepartie.

« Votre soutien, ajoute Daya, permet à TPRF de continuer à promouvoir le respect de la dignité humaine, la découverte de la paix individuelle et la possibilité de vivre dans la prospérité. »

Voir ci-dessous les 4 vidéos réalisées pour la campagne.

Une lumière dans le monde


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Entrez dans les coulisses d’une cuisine Food for People (à Bantoli, en Inde) avec Prem Rawat


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Prem Rawat à l’université Taylor (Malaisie) en 2017


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Un ancien soldat parle de la paix

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Demandez nos sorbets ! Le Club de la Paix d’une école primaire à Malibu collecte des fonds pour le programme FFP

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Par une belle journée ensoleillée, devant une école élémentaire de Malibu, en Californie, un groupe d’enfants s’active autour de la table. Des voix enjouées annoncent : « Pastèque ! Mandarine ! Banane ! Les meilleures du marché ! » Sur une table de pique-nique drapée d’une nappe blanche, on peut lire sur des affiches manuscrites, en lettres multicolores : “Glaces 1 $”.

Comme chaque vendredi après-midi, les dix élèves de CM2 qui composent le Club de la Paix vendent des sorbets à l’école primaire Juan Cabrillo. Une fillette est assise au milieu du banc avec la caisse. Elle est trésorière et rend la monnaie aux enfants, aux instituteurs et aux parents qui les entourent. De temps en temps, l’un des enfants se rue vers la glacière pour en sortir le parfum demandé.

Le Club de la Paix est un groupe d’enfants qui collecte de l’argent pour des projets caritatifs. « On ne se réunit pas seulement pour parler de paix, déclare Zoe Langley, l’institutrice qui gère ce club. Nous menons des actions concrètes pour aider à résoudre des problèmes par rapport aux sans-abris, à la faim dans le monde, la maladie et nous prenons soin des anciens soldats. Ce club veut apporter des solutions à ces problèmes. Nous voulons aider les gens qui sont moins chanceux que nous. »

« Ces enfants sont vraiment intelligents, poursuit Zoe. Ils s’impliquent de différentes manières pour aider ceux qui les entourent et le monde. Chaque année, c’est un nouveau groupe d’élèves. Les enfants viennent, les parents en entendent parler et nous faisons connaître le Club de la Paix par des vidéos et des réunions. Toute l’école y participe. »

Pour Zoe, la vente des sorbets va au-delà de la récolte de fonds : « Nous voulons responsabiliser les enfants, leur donner de l’espoir et du courage car ils grandissent dans un monde en plein bouleversement. Cette action leur montre qu’ils peuvent soutenir une bonne cause et contribuer à faire avancer les choses. J’ai eu l’idée d’un club de la paix il y a quatre ans, à l’occasion de la Journée internationale de la paix. Je me souviens d’une interview de Prem Rawat, le fondateur de TPRF, sur la paix. Il disait : “Nous pouvons tous être des ambassadeurs de la paix”. J’ai pensé, il a raison, les enfants, les adultes, tout le monde peut être ambassadeur de la paix. »

Zoe souhaitait que le Club de la Paix encourage l’empathie et la compassion des enfants. Elle est très heureuse de voir qu’ils sont enthousiastes et pleins d’idées.

« Nous voulions faire quelque chose contre la faim dans le monde, et nous avons choisi TPRF pour son programme Food for People* (FFP). Ils cultivent des légumes dans des fermes locales, installent une cuisine équipée, apprennent aux gens à la garder propre et servent des repas. C’est une action à long terme. Il existe d’autres programmes humanitaires, mais souvent les gens reçoivent une boîte de riz ou un sac de farine, et c’est tout. Ce qui intéresse les enfants avec FFP, c’est que ça dure. Nous montrons un petit clip vidéo de la ferme, de la cuisine, des personnes qui aident sur le lieu et ils adorent ça. Les élèves et les instituteurs peuvent voir où va l’argent. »

Les membres du Club de la Paix décident eux-mêmes de qui recevra les fonds et expliquent aux donateurs le but de ces collectes. Le 10 mai, Zoe a envoyé un chèque de 700 dollars à FFP, que le club a récolté durant l’année.

Par ailleurs, ils ont envoyé un chèque à un groupe d’anciens soldats de Los Angeles, soutenu la recherche contre le cancer à l’hôpital pour enfants de Saint-Jude, cuisiné des tartes aux pommes et du pain au maïs pour les sans-abris, acheté des arbres fruitiers pour l’école, offert des fournitures scolaires aux enfants démunis, aidé à financer les voyages scolaires et organisé une collecte pour construire une école dans un village éthiopien.

« On a vraiment le sentiment d’aider les autres, dit Zoe. Notre objectif à l’avenir est d’en aider encore plus. »

* Des repas pour tous

Le Dr Patrick Mpoyi prescrit le PEP à Soweto

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En 2013, le Dr Patrick Mpoyi s’installe à Soweto, en Afrique du Sud, pour y exercer la médecine. Il a quitté la République démocratique du Congo, son pays natal, pour échapper à la guerre civile.

À Soweto, une banlieue historiquement noire qui a subi la ségrégation, beaucoup de gens souffrent de toxicomanie, du sida, du cancer, de dépression et autres maladies dues à la pauvreté.

Le Dr Patrick Mpoyi a entendu parler pour la première fois du Programme d’éducation pour la paix (PEP) par son ami, Ernest Leketi, qui propose cette formation à Soweto dans le cadre du Département du développement de la jeunesse à Johannesbourg.

Au Congo, le Dr Patrick a été victime d’exactions et le témoin de nombreux actes de violence. Il explique que, grâce aux ateliers du PEP, il a pu retrouver le chemin du pardon et de la compassion pour rebondir dans sa nouvelle vie en Afrique du Sud. Il a aussi compris tout le potentiel du PEP pour aider ses patients.

Depuis, il leur prescrit ces ateliers comme remède et obtient d‘incroyables résultats, aussi bien pour les toxicomanes ou les dépressifs que pour les hypertendus.

Voir dans la vidéo ci-dessus le Dr Patrick Mpoyi et l’impact du PEP sur ses patients. Cette vidéo sera très bientôt disponible avec les sous-titres en français.

Pour plus de nouvelles sur l’Afrique du Sud, cliquer ici.

L’effet PEP en Colombie : « Il faut désarmer les cœurs »

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En photo ci-dessus, le Commandant Elmer Arrieta avec des représentants des Nations Unies.

Marian Masoliver, réalisatrice, est en Colombie avec Simon Edwards pour filmer l’effet du Programme d’éducation pour la paix (PEP) sur les anciens soldats, les victimes et tous ceux qui ont été touchés par cinquante ans d’une guerre civile qui vient de se terminer. Dans ce blog, elle raconte son voyage vers le village de Santa Lucia à la rencontre des membres des Forces armées révolutionnaires colombiennes (Farc), le plus important groupe rebelle du pays.

Lire ici le précédent blog de Marian qui relate sa visite dans la ville d’Ituango.

Nous nous levons à 5 heures du matin et roulons près de deux heures sur la piste poussiéreuse qui part d’Ituango pour s’enfoncer dans les montagnes de Colombie.

Santa Lucia est un village d’une trentaine de modestes maisons le long d’un étroit canyon, à quelque 9 000 mètres des sommets qui le surplombent. Dans cette petite zone rurale, 250 guérilleros, combattants des Farc, commencent la démobilisation et s’apprêtent à remettre leurs armes aux Nations Unies lorsque le traité de paix sera effectif. La zone est contrôlée conjointement par le gouvernement colombien, la direction des Farc et le personnel colombien des Nations Unies, qui sont également installés là.

Le container de l’ONU où seront collectées les armes des Farc.

La jeep fonce sur la piste cahoteuse. Avec Simon et Rodrigo, le journaliste brésilien qui voyage avec nous, on s’accroche !

De grandes montagnes à la végétation luxuriante emplissent mon champ de vision au cours de cette rude journée. Notre guide, Carlos Andrés, un homme du bureau colombien du Haut-Commissariat pour la paix, ouvre le chemin sur sa mobylette.

Il s’arrête. « Il faut que vous fassiez une photo », suggère-t-il en montrant un grand panneau qui annonce que nous entrons dans le territoire des Farc.

Moins de cinq minutes plus tard, nous nous arrêtons encore. Cette fois, c’est un poste de contrôle de l’armée. De jeunes soldats amicaux nous demandent nos passeports et enregistrent notre entrée dans le camp.

Notre prochain arrêt est la base de l’ONU à l’intérieur du camp. Une fonctionnaire chilienne de l’ONU nous accueille autour d’une tasse de tinto, le café noir sucré local. Très aimable, elle nous explique les règles du camp, en compagnie d’un capitaine et d’un représentant des Farc.

Simon prend une photo pour le reportage.

Nous sautons à nouveau dans la jeep et nous enfonçons 9 km plus loin, dans le canyon. Carlos s’arrête pour nous montrer les tentes où vivent les guérilleros. « Le nouveau camp où ils iront bientôt s’installer est presque terminé », nous explique-t-il.

Finalement, nous arrivons au point d’accueil où quelques guérilleros nous souhaitent la bienvenue. Encore du tinto. Ils sont sympas avec nous et l’ambiance est très détendue. Je leur demande s’il y a du poisson dans la rivière, et nous commençons à discuter de la faune, du temps qu’il fait… J’essaie de briser la glace et, tout naturellement, ils me parlent de leur situation dans le camp. L’entretien est informel, l’atmosphère paisible, chacun prend son temps, comme une journée ordinaire à la campagne.

Carlos m’apprend finalement qu’une interview officielle est organisée avec Elmer Arrieta, le commandant des Farc surnommé “el Flaco”. Le journaliste brésilien lui parle le premier. Ensuite, nous allons tous déjeuner : une assiette de riz blanc avec un œuf au plat et un morceau de viande. Le jus de banane est délicieux ! Nous parlons politique avec Elmer et échangeons des plaisanteries.

Après le déjeuner, il nous dit en blaguant que nous n’avons que deux minutes pour faire l’interview. Même s’il n’est pas âgé, il a l’air d’un homme fatigué. J’imagine que vingt-cinq années de guerre en pleine jungle, dans des conditions inhumaines, épuiseraient n’importe qui.

Comprenant que l’interview ne sera pas aussi longue que je l’espérais, je revois rapidement mes questions et décide de lui parler de la paix. Je lui explique ce qu’est la Fondation Prem Rawat et le PEP. Il écoute. Nous parlons une demi-heure. Voici quelques-unes de ses réflexions :

« Ce que vous me dites sur cette Fondation est intéressant. »

« La paix doit se construire à partir du cœur, il faut désarmer les cœurs. »

Il me dit aussi qu’ils savent qu’ils ont fait des choses terribles et qu’ils demandent pardon.

« Quand on voit la porte s’ouvrir vers la paix et la réconciliation, on dit : “La guerre est finie dans mon corps. Mon cœur ne bat plus pour la guerre. Maintenant, mon cœur bat pour la paix”. »

« Je suis absolument convaincu que le meilleur choix est la paix, qu’on doit en finir avec la haine, et que l’on doit se réconcilier. »

« Nous avons l’espoir qu’il va y avoir la paix en Colombie dans un proche avenir. Cela dépend de notre investissement personnel et de la continuité de l’aide de la communauté internationale… Qu’on s’assoie et qu’on se parle comme des êtres humains civilisés… On peut avoir un avenir totalement différent pour le bien de l’humanité. »

Nous interviewons aussi une guérillera, une femme soldat des Farc. Elle a 22 ans, et je suis surprise de la voir aussi joyeuse et pleine d’énergie. Elle nous fait faire le tour du camp après son interview.

À la fin de cette journée bien particulière, une chose est claire : chacun ici veut la paix.

Le nouveau camp où vont séjourner les guérilleros.

Une vue du canyon.

Des représentants des Nations Unies.

Un enfant joue.

Une famille de Santa Lucia.

D’autres tentes de guérilleros.

Le bus “chiva” retourne à Ituango.

Vous pouvez lire l’article précédent de Marian sur sa visite dans la ville d’Ituango ici.

L’effet PEP en Colombie : les graines de paix

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Marian Masoliver, réalisatrice, est en Colombie avec Simon Edwards pour filmer l’effet du Programme d’éducation pour la paix (PEP) sur les anciens soldats, les victimes et tous ceux qui ont été touchés par cinquante ans d’une guerre civile qui vient de se terminer. Elle nous fait part de son expérience. C’est le troisième article sur son voyage (lire les partie 1 et partie 2).

La première chose que j’ai vue par la fenêtre, le matin de mon arrivée en Colombie, c’est un oiseau bleu magnifique picorant dans l’herbe qui m’observait. Feliz día! (Belle journée !). Les Colombiens sont vraiment amicaux, attentifs, ouverts et solidaires. Ils ont du temps et de la lumière dans les yeux. Ce sont ces couleurs et cette joie qui m’ont frappée à mon arrivée dans ce beau pays.

Je ne suis pas une spécialiste de la guerre en Colombie, mais au cours de mon séjour là-bas, j’ai constaté que tout le monde est fatigué de ce conflit interminable, inhumain et inutile.

Les victimes veulent la paix, les guérilleros veulent la paix, les commandants des Farc veulent la paix, les anciens paramilitaires veulent la paix. À l’heure où tous sont rassemblés autour du même désir, il n’y a pas de retour en arrière possible. « Ce processus de paix est comme une bicyclette, il n’a pas de marche arrière », nous a confié un haut commissaire de la paix, lors d’une visite dans un camp réservé aux membres démobilisés des Farc (le principal groupe de rebelles en Colombie).

Simon et moi sommes restés deux mois dans la ville de Medellin pour réaliser notre documentaire sur le plus long conflit armé des temps modernes qui, espérons-le, arrive à son terme. Nous avons suivi cinq victimes et ex-combattants qui participent aux ateliers du PEP, et nous les avons vu changer.

Au cours de la première interview, ils ont raconté leurs histoires tragiques. Ils avaient besoin de parler, d’être écoutés. Je n’avais jamais entendu des choses pareilles.

« J’ai été kidnappé à 13 ans pour être enrôlé dans un groupe armé. J’y suis resté quatorze ans, jusqu’au moment où j’ai pu m’échapper. »

« J’ai été abandonné quand j’avais 7 ans, j’étais obligé de travailler pendant des heures alors que je n’étais qu’un enfant. À 15 ans, j’ai rejoint un groupe armé. »

« Adolescent, j’ai parcouru cet immense pays à la recherche d’or, pour trouver un moyen de survivre. »

« J’ai été obligé de quitter ma maison et ma famille à cause des menaces qui pesaient sur moi, et j’ai dû parcourir le pays à pied pour avoir une chance de survivre. »

« À 11 ans, j’ai dû m’engager dans l’un des groupes armés. Il n’y avait pas d’autre possibilité. »

On pourrait faire un roman ou un film avec chacune de ces histoires. Plus nous en entendions, plus nous comprenions que, pour beaucoup trop de Colombiens, ces histoires étaient “normales”.

Nos nouveaux amis ont suivi le Programme d’éducation pour la paix tout en étudiant au Centre d’éducation pour la paix et la réconciliation (CEPAR). Beaucoup savent lire et écrire depuis seulement un an ou deux, n’ayant pu apprendre lorsqu’ils étaient enfants.

À la question “Comment le PEP vous aide-t-il ?”, leurs réponses donnent du baume au cœur :

« J’y vois beaucoup plus clair. Je ne me pose plus toutes ces questions. J’ai arrêté de me droguer. »

« Ça aide de réfléchir avant d’agir, confie un autre, dont la sœur a été assassinée pendant qu’il participait au programme. Ma première réaction a été de chercher à me venger, mais je me suis souvenu des mots de Prem Rawat : “Réfléchissez un moment avant de faire quelque chose, soyez conscient”. J’ai donc décidé de ne pas partir à la recherche de l’assassin de ma sœur pour la venger. »

« Mes respects à Prem Rawat. Si j’en avais la possibilité, j’aimerais faire passer ce message au monde entier », dit un ex-combattant qui a été chez les Farc pendant dix-sept ans.

Nous avons été témoins de la force des paroles de Prem Rawat. D’une façon ou d’une autre, même dans les moments les plus difficiles, ces mots touchent le cœur des êtres humains et réveillent quelque chose qui est à la fois beau, fragile et puissant. Et l’espoir se met à danser dans leurs yeux.

Nous avons pu voir chez les personnes que nous avons rencontrées la nécessité vitale de surmonter cette tragédie au-delà de l’imaginable, de la dépasser et de progresser. C’est le moment pour eux, non plus de survivre, mais de vivre pleinement. Ils représentent l’espoir et les graines de paix pour la Colombie. Leur temps est venu de connaître la prospérité.

Tea Party réussie à Toronto pour collecter des fonds au profit de la Fondation Prem Rawat

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Récemment, Michelle et David Klamph ont reçu 50 invités chez eux, à Toronto (Canada), pour une “Tea Party” au profit de la Fondation Prem Rawat (TPRF). Ils ont ainsi collecté 1 242 dollars.

Michelle et David Klamph sont des bénévoles de TPRF depuis longtemps. Voilà dix ans qu’ils accueillent des galas de bienfaisance chez eux. « Nous adorons organiser ce genre de réception, confie Michelle. Et l’on dirait que cet endroit porte chance ! Les invités sont toujours contents de venir dans ce lieu chaleureux et confortable. »

Pour cette dernière “Tea Party”, elle a fait trois délicieux gâteaux, et de nombreux sympathisants de la région les ont aidés cette fois-ci. Entre autres, deux jeunes femmes, Meera Vignaraja et Divya Balendra, ont préparé les nappes, la vaisselle en porcelaine, le service à thé, l’argenterie et un bel assortiment de canapés, de douceurs et de thés. « Elles ont vraiment assuré et offert à tous un très bel après-midi », raconte Michelle.

Des initiatives individuelles de collectes de fonds, comme cette “Tea Party”, sont essentielles pour l’expansion des programmes de TPRF.

Marci Klein, directrice du développement de TPRF, remercie vivement Michelle, David et tous les bénévoles, dont ceux qui ont fait le déplacement à Toronto pour apporter leur soutien à la Fondation : « Chaque dollar est utilisé pour aider les gens, soit en finançant des repas équilibrés (FFP), soit en développant des ateliers du PEP, ou encore en organisant des forums en présence de Prem Rawat. Votre soutien permet de changer des vies. »

Pour plus d’information sur l’organisation des initiatives individuelles de collectes de fonds et sur l’aide que vous pouvez recevoir, voir la page Collectes de fonds et actions de sensibilisation.

Cultivons la paix : le PEP trace son chemin en France

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La Tour Eiffel au lever du soleil sur la Seine (Photo de Bastian Linder).

Agnès Levitte vit à Paris et anime bénévolement plusieurs ateliers du PEP dans la région parisienne. Elle a vécu en Angleterre, en Côte d’Ivoire, en Suisse et en Australie, ce qui lui donne une bonne connaissance des différentes cultures et de leur répercussion sur la manière de s’exprimer et de communiquer.

Comment avez-vous été amenée à vous occuper du Programme d’éducation pour la paix ?

Lorsque j’ai pris ma retraite, j’ai voulu redonner un peu ce que j’avais reçu au cours de ma vie. Je ne voulais pas me mettre “en retraite de la vie”. Je connaissais le PEP, et c’est la première idée qui m’est venue à l’esprit. Nous avons formé une petite équipe, dont deux membres avaient déjà suivi ce programme. Nous nous sommes promis de ne pas être impatients, de ne pas se décourager et de bien se préparer. Nous avons donc recherché un lieu pour accueillir le PEP auprès d’organismes susceptibles d’être intéressés. Nous pensions qu’il nous faudrait des années pour y parvenir, mais ce ne fut pas le cas.

Nous nous sommes réunis régulièrement, et j’ai eu l’idée d’en parler à quelqu’un qui s’occupe d’une association d’artistes, en contact avec des hôpitaux et des maisons de retraite. Je les connais car on fait partie de la même chorale. La responsable a beaucoup aimé l’idée et nous a offert son aide pour le mettre en place. Quelques mois plus tard, nous démarrions notre premier PEP dans une salle prêtée par la Mairie de Paris. Le succès a été tel que nous en avons organisé un deuxième avec la même association.

Dans ma rue à Paris, il y a un « jardin solidaire ». Il est ouvert à tous, y compris aux sans-abri, à ceux qui ont des troubles mentaux ou toutes sortes de difficultés sociales. Nous jardinons tous ensemble. Après quelques mois, j’ai pensé que le PEP pourrait leur apporter beaucoup, alors je l’ai proposé à la responsable et nous avons pu en organiser dans ce lieu.

C’est ainsi que tout a commencé à Paris.

En fait, je fais partie de deux équipes : l’une à Paris et sa banlieue, qui s’agrandit et met en place de nouveaux ateliers ; et l’autre, plus grande, qui s’occupe de traduire les documents liés au PEP.

En tant que contact pour la France, je vois la difficulté pour les gens de ne pas avoir de traduction ou de ne pas comprendre une culture qui n’est pas la leur. Aussi, nous avons créé un lexique avec des équivalents français aux termes anglais utilisés, de façon à ce que ça parle à chacun. Dans les vidéos, ce sont des professionnels bénévoles qui enregistrent les voix off, pour que tout le monde puisse suivre le message de Prem Rawat en français.

Tous les formulaires du PEP sont également traduits pour faciliter entre autres l’inscription de chaque nouveau PEP auprès de TPRF. Désormais, tout un chacun doit pouvoir organiser un PEP, même s’il ne parle pas anglais.

Que se passe-t-il dans les autres villes francophones d’Europe ?

Depuis que les documents et les vidéos sont disponibles en français, le PEP progresse plus facilement. Actuellement, il a lieu dans une dizaine de villes en France et en Belgique, au sein d’organismes à vocation sociale principalement. Quel bonheur d’observer que dans chaque ville les équipes s’étoffent grâce à l’aide apportée par ceux qui viennent de participer à un PEP ! Certains animent les ateliers, d’autres s’occupent de la partie technique, son et image.

Le PEP se déroule régulièrement dans des grandes villes comme Paris, Marseille et Toulouse, et aussi dans des villes plus petites comme Tarbes, Limoges, Saint-Étienne, Bourges, Embrun. Et même dans des villages comme Menetou-Salon. De nouveaux projets émergent grâce à l’enthousiasme des participants qui parlent du PEP à leurs collègues et à leurs connaissances.

Quelles sont les répercussions du PEP dans votre vie ?

Animer un PEP me comble et me permet de redonner tout ce que j’ai reçu. C’est vraiment un plaisir de voir la puissance du message de Prem dans la vie des gens.

Comme l’a dit un des participants : « Dans ma vie de tous les jours, je me mets à apprécier les instants quand les mots de Prem me reviennent à l’esprit. »

J’ai organisé des PEP au sein d’associations et de groupes que je connaissais déjà. Ma vie de tous les jours me fournit maintes opportunités de proposer ce programme, je n’ai pas besoin d’aller chercher bien loin !


La Fondation Prem Rawat classée 4 étoiles par Charity Navigator

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La Fondation Prem Rawat (TPRF) a reçu 4 étoiles pour sa bonne santé financière et la transparence de ses comptes. C’est la meilleure note attribuée par Charity Navigator, la plus grande agence américaine chargée d’évaluer les organisations humanitaires.

Depuis 2002, Charity Navigator récompense les institutions caritatives les plus responsables dans leur gestion en leur attribuant la note optimale de 4 étoiles selon des critères objectifs.

En 2011, l’organisme de notation a ajouté 17 critères concernant la gestion, l’éthique et la transparence. Ces paramètres, qui représentent 50 % de la note globale, permettent de distinguer les organismes de bienfaisance qui ont des bonnes pratiques et garantissent la transparence de leur gestion aux donateurs et autres intervenants.

« La note exceptionnelle décernée à la Fondation Prem Rawat la met en avant et montre au public qu’elle est digne de confiance, déclare Michael Thatcher, président-directeur général de Charity Navigator. Seul un quart des institutions évaluées reçoivent cette distinction, ce qui classe la Fondation Prem Rawat parmi les premiers organismes humanitaires en matière d’action pour surmonter les problèmes les plus urgents dans le monde. Grâce à ces 4 étoiles, les gens ont la certitude que leurs dons vont à une organisation financièrement et éthiquement responsable. »

TPRF a pour mission de répondre aux besoins fondamentaux des êtres humains en leur apportant de la nourriture, de l’eau et la paix. Avec l’aide de bénévoles, elle développe des programmes et des actions dans plus de 70 pays.

« Il est très important que les donateurs aient l’assurance que leurs dons sont bien utilisés pour réaliser notre mission d’aider les gens et leur permettre de vivre dans la dignité, la paix et la prospérité », déclare Linda Pascotto, présidente du conseil d’administration de TPRF.

Pour en savoir plus sur les finances, l’engagement responsable et la transparence de TPRF, rendez-vous sur le site de Charity Navigator ici.

Le Programme d’éducation pour la paix à l’honneur sur la chaîne CBS de Los Angeles

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Sally Weaver, une bénévole de TPRF, a été interviewée le 22 juillet, sur la chaîne KCAL-TV, filiale de CBS. Cette émission matinale très populaire a été diffusée dans toute la Californie du Sud. Sally raconte son expérience d’animatrice du Programme d’éducation pour la paix (PEP) dans la prison des Twin Towers à Los Angeles, la plus grande au monde, où le programme a des répercussions positives sur les participants. L’émission a réuni plus de 500 000 téléspectateurs. Si vous désirez la visionner, rendez-vous sur la page YouTube de KCAL ci-dessus.

Malaisie : le PEP à l’université Taylor

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L’université Taylor à Kuala Lumpur a été la première à proposer le Programme d’éducation pour la paix en Malaisie. Dans cette vidéo (sous-titrée en français), des étudiants qui ont suivi le PEP racontent leur expérience ; il y a également des extraits de la réunion en petit comité avec Prem Rawat en octobre 2016.

Les directeurs de l’université ont plébiscité ce programme qui renforce leur école dans sa mission première « d’enrichir l’esprit et le cœur des étudiants ».

Pour les sous-titres en français, cliquer sur la petite roue dentée.

« La réponse est la paix » : un ex-détenu prône l’éducation à la paix pour la réinsertion

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Après vingt et un ans d’emprisonnement pour meurtre, Sean Walker est libéré en 2014, et depuis, il vient en aide aux autres détenus. Nathan Deal, gouverneur de Géorgie, le cite comme exemple d’une réinsertion réussie, quand les prisonniers peuvent suivre des programmes qui leur permettent de réintégrer la société et de mener une vie productive. Dans sa lettre, Sean raconte la façon dont le Programme d’éducation pour la paix (PEP) l’a aidé à reprendre sa vie en main.

En 1993, j’ai commis l’acte le plus ignoble : prendre la vie d’un autre être humain. Non seulement j’ai détruit cette vie, la vie de sa famille, celle de ma famille, mais j’ai aussi détruit la mienne.

J’ai d’abord cherché des réponses. Comment avais-je pu en arriver là, croire qu’on peut commettre un crime et que ce n’est pas grave ? Ma quête a donc commencé par Dieu.

La plupart des réponses que j’ai reçues m’ont été données par des guides spirituels. Ils m’ont expliqué que l’esprit humain est naturellement mauvais et que ma nature diabolique avait pris le dessus sur ma conscience. À ce moment-là, nous éprouvons des émotions incontrôlables qui nous conduisent à commettre l’irréparable. En d’autres termes, mal se conduire serait naturel.

Cela me dérangeait : si faire du mal fait partie de notre nature, ça devrait nous faire du bien. Or, ce n’est pas le cas. Lorsque vous faites du mal, vous vous sentez horriblement mal, plein de remords et de regrets. Donc, ce ne peut être dans notre nature. En revanche, lorsqu’on fait du bien, on se sent bien ; bien agir est donc dans notre nature. Si on suit le même raisonnement, on peut dire que les actes de paix nous apportent la paix. En conséquence, la paix aussi doit être dans notre nature.

Dans ma quête spirituelle, j’ai fait une recherche sur le mot “paix”. J’ai découvert que c’est le mot le plus utilisé par les hindous ; que Jésus a promis la paix à ses disciples, après sa résurrection et avant son ascension ; que Jérusalem est la “ville de la paix” ; que les musulmans se saluent en disant “que la paix soit avec toi” et que la racine du mot islam est “paix”.

Donc, la réponse était bien la paix – c’est ce qui me manquait, ce que j’avais perdu et dont j’avais besoin. La paix faisait partie de ma nature. C’était ma nature.

Ensuite, j’ai lu, étudié et prié pour la paix. J’ai jeûné pour la paix. J’ai fait des sacrifices pour la paix. J’ai appris ce mot en plusieurs langues. J’ai essayé d’instaurer la paix dans mon dortoir en prison, avec mes compagnons de cellule et entre les autres détenus. Les directeurs, le personnel et les matons m’ont surnommé “le Pacificateur”. Je pouvais procurer la paix à tout le monde, sauf à moi-même.

Ce n’est qu’après avoir été introduit au Programme d’éducation pour la paix que j’ai compris que je cherchais la paix là où elle n’était pas. Je la cherchais partout, sauf en moi. Prem Rawat m’a enseigné que la paix existe à l’intérieur de moi. C’est le point de départ.

J’ai commencé à regarder en moi et n’ai plus cessé depuis. Les ateliers sur la paix ont été si intenses qu’après avoir été libéré, j’ai voulu partager mon expérience avec mes compagnons de cellule restés en prison, ceux qui ne savent pas encore que la paix sommeille en eux.

J’ai l’honneur aujourd’hui d’animer le Programme d’éducation pour la paix. La quête intérieure de la paix est la seule vraie liberté, et je ne peux résister à faire découvrir ce message à un maximum de personnes.

Je remercie Dieu pour le PEP.

États-Unis : un documentaire sur le PEP sur les chaînes publiques

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Regardez la bande-annonce du film Inside Peace ci-dessus.

Après avoir obtenu plusieurs récompenses lors de nombreux festivals, Inside Peace sera diffusé sur les télés américaines publiques (PBS). Ce documentaire, tourné dans une prison du Texas, nous montre l’impact du Programme d’éducation pour la paix (PEP) sur les détenus.

Le film, qui a demandé quatre années de travail, s’intéresse à quatre prisonniers de la prison d’État de Dominguez, à San Antonio (Texas), partis à la découverte d’eux-mêmes. Après des vies marquées par la violence depuis des générations et la toxicomanie, ils suivent un “cours sur la paix” et se battent pour retrouver leur humanité et se reconstruire de l’intérieur.

Une fois sortis de prison, la vie ne leur fait pas de cadeau, pendant qu’ils essaient de réapprendre à vivre dans un monde violent et hostile qui les exclut. Face à ces obstacles quotidiens, ils utilisent les outils acquis dans les ateliers du Programme d’éducation pour la paix et commencent à modifier leurs comportements qui les ont conduits en prison.

Comme l’écrit Robert Koehler, critique de cinéma pour le Huffington Post, « Ces hommes ont compris dans leur cœur qu’ils ont de la valeur, ce qui n’est pas rien lorsque la leçon arrive si tard dans leur vie. C’est ce qui suscite l’admiration du spectateur : la paix intérieure est donc toujours possible ? »

En août et en septembre, ce documentaire sera programmé plus de 1 000 fois sur 200 stations du réseau PBS dans 40 États américains.

Pour connaître l’horaire des diffusions, rendez-vous sur le site Inside Peace ici.

Ottawa, Canada : des collectes de fonds pour TPRF pleines d’imagination

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Depuis quelques années, des sympathisants de la Fondation Prem Rawat organisent des collectes de fonds originales à Ottawa, au Canada. Compte-rendu de David Pritchard (ci-dessus à gauche lors d’une soirée de collecte).

L’expérience du Programme Food for People (FFP), imaginé par Prem Rawat, pour aider les gens à Bantoli, en Inde, nous a donné envie de faire quelque chose. Partant de là, des projets ont pris forme.

Quelqu’un a eu l’idée d’une collecte de fonds et l’a concrétisée. Le dernier projet a été une journée d’information qui a rassemblé environ 25 personnes, avec la projection du documentaire Inside Peace, une vente aux enchères et une tombola, un énorme déjeuner à la fortune du pot et deux vidéos de Prem Rawat sur le programme Food for People. Cette journée a rapporté plus de 440 dollars.

Ma femme possède un restaurant végétarien, The Pantry (le garde-manger), qui a accueilli plusieurs de ces collectes. Ces quatre dernières années, au moment des fêtes de Noël, nous avons organisé une “Journée TPRF”. Début décembre, nous reversons toutes les recettes du Pantry à Food for People. Nous disposons des brochures sur FFP et un joli pot en verre pour recevoir les dons. Cette action, qui demande peu d’efforts, a récolté entre 475 et 600 dollars chaque année et est devenue, sans conteste, la journée de travail la plus agréable de l’année.

Une année, nous avons récupéré une peinture du 19e siècle sauvée de la poubelle, et l’avons accrochée au Pantry pour la vendre aux enchères. Personne ne montrait le moindre intérêt et nous n’avons reçu aucune offre. Alors que nous avions perdu tout espoir, l’un de nos habitués a fait une offre de 335 dollars le dernier jour.

La collecte de fonds dont je suis le plus fier, c’est le spectacle que nous avons organisé au Pantry. Melody Moore est un one-man show sur Thomas Moore, le poète et musicien irlandais du 19e siècle, écrit et interprété par l’acteur et chanteur Richard Hanna, originaire de Nouvelle-Zélande. Il a souhaité jouer son spectacle gratuitement pour soutenir Food for People et nous l’avons organisé au restaurant du Pantry. La salle à manger s’est transformée en un petit théâtre d’une cinquantaine de places. Nous avons affiché complet et vendu les billets 16 dollars. Une petite vidéo sur Food for People a été projetée avant le show et nous avons servi du thé et du café à la fin. Les spectateurs étaient ravis et, cette fois-là, on a recueilli plus de 1 200 dollars. Une belle façon de terminer cette soirée mémorable.

En 2012, nous avons tenu une ”soirée Star Wars” dans un centre associatif de la ville. L’un des membres de notre équipe connaissait un groupe de passionnés qui s’habillent en personnages de Star Wars pour soutenir des manifestations caritatives. Nous avons projeté Star Wars et présenté des personnages du film. Puis nous avons passé la vidéo sur Food for People devant un public de plus de 200 adultes et enfants, et avons recueilli 877 dollars.

Certains de ces projets se sont faits en collaboration avec les nombreux supporters locaux de TPRF. J’ai été impressionné par le dévouement des bénévoles et je suis toujours étonné de la joie que nous procurent ces actions.

La plupart des bénévoles ont plus de 60 ans, ce qui me fait penser que nous nous en sommes bien sortis à chaque fois avec le transport des meubles et de matériel lourd. Par principe, nous prenons en charge tous les coûts des collectes afin que chaque centime aille à TPRF. Nous essayons d’offrir des prestations de qualité (un repas, un spectacle ou un film) en échange des dons. L’argent que nous recueillons n’est qu’une petite partie de l’expérience. Participer à l’effort de la Fondation Prem Rawat, quel qu’il soit, ajoute une dimension à notre vie.

La Fondation Prem Rawat au secours des victimes de l’ouragan Harvey

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La Fondation Prem Rawat (TPRF) a fait un premier don de 20 000 dollars à la Banque alimentaire de Houston pour aider les victimes de l’ouragan Harvey qui a dévasté le Texas ces derniers jours, provoquant des inondations exceptionnelles et le déplacement de plus de 30 000 personnes.

Pour aider les victimes de l’ouragan Harvey, faites un don ici.

La subvention initiale de 20 000 dollars provient des réserves budgétaires de TPRF destinées à l’aide humanitaire. Tous vos dons à la Fondation s’ajouteront à cette somme. Chaque dollar fournira l’équivalent de trois repas pour une personne.

« Nous sommes de tout cœur avec chaque personne de la Gulf Coast touchée par cette tragédie, et reconnaissants envers les donateurs de TPRF dont la générosité va nous permettre de porter assistance à ceux qui sont dans le plus grand besoin », a déclaré Linda Pascotto, présidente du conseil d’administration de TPRF.

La Banque alimentaire de Houston, qui a bénéficié de ce premier don, est en bonne position pour aider ceux qui se trouvent dans une situation extrême. TPRF s’était déjà associée à cette ONG lors des ouragans Ike et Katrina. La somme initiale de 20 000 dollars permettra de distribuer environ 60 000 repas.

« Nous apprécions infiniment votre générosité dans ces moments difficiles que traversent les habitants de Houston », déclare Paula McKenzie, directrice des dons majeurs de la Banque alimentaire de Houston.

Ne manquez pas les mises à jour à propos de l’effort de reconstruction au Texas sur tprf.org/fr.

Les photos, fournies par la Banque alimentaire de Houston, illustrent les secours aux victimes de l’ouragan Harvey.


Maintenir la paix : la police mauricienne s’arme du Programme d’éducation pour la paix

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La mission de protection de la population de l’Ile Maurice exige de la part des officiers de police, calme et concentration, même dans les moments les plus stressants.

Pour arriver à ce résultat, les Forces de police mauriciennes (MPF), en collaboration avec les bénévoles de la Fondation Prem Rawat (TPRF), ont proposé le Programme d’éducation pour la paix (PEP) à un groupe de 28 agents. Ces ateliers, basés sur des extraits vidéo des conférences internationales de Prem Rawat, ambassadeur de la paix renommé, sont conçus pour aider les participants à être davantage en contact avec leur force intérieure, la clarté et la paix.

Au cours des 10 séances du programme, les officiers de police ont pu découvrir qu’en développant la paix en eux-mêmes, ils aidaient à préserver la paix publique.

« Dans ce monde incertain, les ateliers du PEP m’ont aidé à comprendre qui je suis, pourquoi je suis ici et comment je peux aider les gens à résoudre leurs problèmes et leurs angoisses, déclare le sergent Boodnah. Quand nos collègues vont mal, ils sont moins performants. Ce programme nous a permis de ressentir notre force intérieure et l’espoir. Le cœur est notre force. »

Le sergent Auckburally-Serally ajoute : « Le PEP a été une vraie surprise. Il m’a aidé à comprendre mon importance en tant qu’individu et a transformé mon travail d’officier de police. Maintenant, je me sens mieux à même de gérer les conflits. »

Quant au Sergent Seetul-Greedharee, il constate que ce programme lui a permis d’avoir davantage confiance en lui : « Il m’a fait ressentir une force intérieure. »

Ces témoignages des agents du quartier général de la MPF à Port-Louis rejoignent ceux des autres participants du Programme d’éducation pour la paix à travers le monde. Cette formation offerte dans 74 pays a touché un large public, notamment d’autres agents de police, des chefs d’entreprise, des étudiants, professeurs d’université et des détenus.

Le PEP a été autorisé dans tous les établissements pénitentiaires d’Afrique du Sud et du Ghana, et plus de 100 fonctionnaires du service pénitentiaire de l’Ile Maurice l’ont déjà suivi.

L’adjoint au directeur de la police est en train de faciliter la tenue d’autres ateliers du PEP, en prenant soin de suivre les instructions des officiers qui y ont déjà participé.

« Je pense que cette formation va aider tous les agents de police à mieux se comprendre et surmonter les problèmes qu’ils rencontrent dans leur travail », indique le gardien de la paix Pather.

Soutenez la campagne “Peace for People 2017” de TPRF

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Chaque année, la Journée internationale de la Paix a lieu le 21 septembre dans le monde entier. Découvrez comment soutenir l’effort mondial pour sensibiliser les gens au fait que la paix est possible.

“Ensemble pour la Paix : Respect, Sécurité et Dignité pour Tous”, c’est le thème de la commémoration de cette année. Pour accompagner cette mobilisation internationale, la Fondation Prem Rawat a réalisé une nouvelle vidéo (sous-titrée en français), Un remède pour la paix, afin de prendre conscience que la paix est possible pour chaque individu sur la planète.

Elle sera mise en ligne le 14 septembre en attendant la Journée de la Paix.

Consulter la page où est publiée la vidéo et faire ainsi partie des millions de sympathisants de TPRF qui soutiennent la cause de la paix.

 

La Fondation Prem Rawat vient en aide aux victimes des inondations au Népal

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La Fondation Prem Rawat (TPRF) vient d’accorder une aide de 20 000 dollars pour aider les victimes des récentes inondations au Népal, qui ont contraint des centaines de milliers de gens à quitter leur maison et des millions d’autres à vivre dans une grande précarité.

Faire un don pour aider les victimes d’inondations au Népal.

Les personnes touchées par ces pluies diluviennes ont un besoin urgent de nourriture. Aussi TPRF, en collaboration avec la Fondation Premsagar, son partenaire habituel du Népal, veut s’assurer que l’aide parviendra bien aux plus démunis. En détruisant des milliers d’hectares de cultures dans la région du Terraï, cette catastrophe a provoqué une pénurie alimentaire qui va durer plusieurs mois.

Vos dons s’ajouteront aux montants que TPRF compte faire parvenir aux sinistrés pour leur distribuer de la nourriture et soulager leur détresse.

Cette nouvelle campagne de TPRF succède à celle qui a recueilli de nombreux dons pour secourir les victimes de l’ouragan Harvey au Texas.

« Nos donateurs s’activent sans relâche pour sauver des vies et permettre aux victimes de retrouver leur dignité lors d’un désastre, explique Linda Pascotto, présidente du conseil d’administration de TPRF. Un grand merci à tous ceux qui y contribuent. »

TPRF entretient depuis longtemps des relations efficaces avec la Fondation Premsagar afin d’apporter une aide humanitaire aux Népalais. En savoir plus sur le programme Food for People (FFP) qui fournit des repas quotidiens équilibrés à des milliers d’enfants et personnes âgées.

La Fondation Prem Rawat au secours des victimes de l’ouragan à Porto Rico

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La Fondation Prem Rawat (TPRF) va faire un don de 20 000 dollars, pour venir en aide aux victimes de l’ouragan Maria, à Porto Rico. La tempête extrêmement violente qui s’est abattue sur le pays à la suite de l’ouragan Irma a déclenché une grave crise humanitaire, mettant la quasi-totalité des 3,4 millions d’habitants de l’île à rude épreuve. Il y a pénurie d’électricité, d’eau potable, de nourriture, de médicaments et autres produits de première nécessité. Le redressement du pays prendra au moins plusieurs mois car 80 % des récoltes ont été détruites et l’économie est en ruine.

Faire un don pour aider les victimes de l’ouragan à Porto Rico.

Vos dons s’ajouteront au montant que TPRF a mobilisé pour aider les personnes les plus sinistrées de l’île.

« Les besoins à Porto Rico sont énormes et notre capacité à les satisfaire peut contribuer à améliorer la situation, a déclaré Linda Pascotto, présidente du conseil d’administration de la Fondation TPRF. Nous remercions profondément tous les donateurs qui permettent à TPRF d’aider les gens dans ces moments terribles. »

TPRF donne 95 000 $ après les catastrophes aux États-Unis et au Népal

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Pour répondre à l’urgence, la Fondation Prem Rawat (TPRF) va faire un don de plus de 95 000 dollars pour fournir une aide alimentaire aux victimes des inondations aux États-Unis et au Népal.

Immédiatement après l’ouragan Harvey qui a dévasté le Texas et les inondations provoquées par la mousson au Népal début septembre, TPRF a versé une aide de 40 000 dollars à des associations humanitaires en mesure de porter secours aux personnes les plus touchées. Dans les semaines qui ont suivi, les sympathisants de TPRF ont plus que doublé cette somme, ce qui va permettre aux victimes de ces tragédies de continuer à recevoir le soutien dont elles ont besoin.

« Un immense merci à tous les donateurs de TPRF et aux bénévoles qui ont contribué à cette aide d’urgence tellement essentielle pour ces milliers de personnes qui vivent dans certaines des régions les plus durement touchées du globe », assure Linda Pascotto, présidente du conseil d’administration de TPRF.

Au Texas, les fonds de TPRF sont versés à la Banque alimentaire de Houston, une association à but non lucratif qui a déjà utilisé la somme initiale de 20 000 dollars pour fournir 60 000 repas aux habitants qui luttent pour leur survie après l’ouragan Harvey. « Nous apprécions grandement votre générosité en ces temps difficiles pour la ville de Houston », déclare Paula McKenzie, directrice de la Banque alimentaire de Houston.

Au Népal, TPRF travaille avec son partenaire de longue date, la Fondation Premsagar Nepal, pour secourir les habitants de la région agricole de Terai, où des milliers d’hectares de récoltes ont été détruits et où des milliers de gens ont dû fuir leur maison. Dans le village reculé de Sakarapura, des colis d’urgence contenant du riz, du daal, de l’huile et des épices ont déjà été distribués à des centaines de familles. « Nous avons reçu le colis de secours dans le calme. Nous avons absolument tout perdu, confie Siyalal Khanga. Merci beaucoup. Votre Fondation est un symbole de paix pour nous. »

L’aide alimentaire d’urgence s’ajoute au programme permanent de Food for People (FFP) dans la région du Dhading au Népal, où TPRF fournit un repas quotidien à près de 2 000 enfants. TPRF parraine également ces programmes FFP en Inde et au Ghana, distribuant chaque année des centaines de milliers de repas aux enfants les plus démunis. Ce type de programme améliore la santé, l’éducation et les perspectives économiques dans les villages où il est implanté.

Le secours aux victimes des inondations et le programme FFP sont deux des nombreuses actions menées par TPRF pour remplir sa mission d’aider les gens à vivre dans la dignité, la paix et la prospérité partout dans le monde. Depuis sa création en 2001, TPRF a fait plus de 160 donations pour secourir les populations de 40 pays.

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